21.8.15

LA MÉDECINE DES ÉNERGIES ET DE DEMAIN




04.10.86




Thèmes :

- La médecine du futur
- Comment seront les médecins de demain ?
- La stérilité de la femme
- L’homéopathie
- La thérapie avec les aimants
- Les causes qui produisent le cancer




Question :


Comment peut-on se préparer à la médecine de demain, qui sera la médecine de l’énergie, ou des énergies ?



Naturellement, cela ne veut pas dire qu’il y aura manipulation de l’énergie comme le fait, par exemple, un guérisseur. Mais à partir du moment où l’on stimule quelque chose, où l’on arrête par exemple, le processus d’un organe, cela a rapport avec l’énergie.

C’est pour cela, que les traitements à l’aide d’éléments chimiques ont parfois à longue échéance des effets dévastateurs. Sur le moment, face à la maladie, face au problème, il y a règlement du problème, il y a règlement de la maladie, effacement des symptômes. Mais pourtant, plus tard, d’autres dérèglements apparaissent de nouveau. C’est parce que, justement, il y a eu une entrave dans le système énergétique.

Donc, quoi que vous fassiez, ne serait-ce que de vous nourrir, d’absorber de l’eau ou un fruit, c’est une démarche énergétique. Une pensée, un mouvement, c’est une démarche énergétique. C’est pour cela, que le Yatha Yoga a le pouvoir qu’on lui connaît, et que pendant les messes, il faut faire certaines ouvertures de bras, certaines génuflexions, et qu’en Égypte, il y avait aussi des disciplines où le corps était concerné.

Quoi que vous fassiez, vous êtes concernés par l’énergie.

Pour autant, il n’y aura pas de médecine nouvelle. Il y aura tout simplement une autre ouverture par rapport à une pratique.

La médecine que vous connaissez dans le monde occidental qui semble occuper pratiquement la terre entière, parce que c’est lui qui actuellement pousse l’intelligence et qui va faire naître cette nouvelle race de médecin, la médecine qui concerne ce monde-là est une médecine racine. C’est une zone d’apprentissage, et elle  est plus intéressée par les expériences que par le remède en lui-même une fois trouvé. Elle est plus intéressée d’avoir des malades que des guérisons. Ce qui ne veut pas dire que les médecins n’ont pas envie de faire le bien, mais ce qui les motive avant tout, c’est la démarche.

En fait, le médecin est un grand chercheur, et un médecin qui n’est pas un chercheur n’arrive pas à être médecin. Il prescrit c’est tout. Mais si en même temps il est chercheur, il ne va jamais s’arrêter, il va toujours vouloir faire dépasser cette science qui a besoin de dépassement.

Il n’y a donc rien de nouveau à attendre. Il n’y a pas une meilleure médecine qui va supplanter une médecine décadente. C’est comme pour tout, il n’y aura que sublimation.

Il en est de même pour les religions, pour les principes philosophiques. Donc il ne faut pas penser à mettre de côté, à renier, à jeter au loin ce qui est acquis. Au contraire, il faut l’amplifier, le porter à un degré supérieur. Tout ceci a été fort utile, il ne faut pas l’oublier. Il en est de même lorsque l’on s’intéresse à la psychanalyse, la psychologie. Ces zones-là de la recherche sont encore des zones d’expériences. Plus tard viendra la véritable approche de la psyché.

En attendant, il faut que l’humanité, que l’homme surtout évolue, par rapport à sa propre constitution et à la façon dont il l’envisage. On ne peut pas envoyer un initié dire aux hommes : la médecine, la psychologie c’est ceci, la religion c’est cela, les hommes n’accepteraient pas. Il faut que les hommes soient le terrain de l’expérience. Quelle que soit la science, la médecine, la recherche, la psychologie ou quoi que ce soit d’autre, une science est toujours tributaire de l’entendement humain.

C’est pourquoi, avant même de donner la solution, qui pourrait être facilement donnée par le guide ou le Maître, il faut initier l’individu à obtenir cette solution. Et c’est ce qui se passe à l’heure actuelle pour toutes les sciences. Les hommes sont initiés à obtenir la solution, ils ne sont pas en train de découvrir et de faire l’effort d’une découverte.

Mais en passant à travers la recherche, cette démarche scientifique leur permet d’agrandir leur entendement, leur permet d’évacuer certains tabous, principes étroits, et automatiquement ils préparent leur esprit à recevoir la solution.

Ce n’est pas le fait d’avoir cherché qui va leur apporter la solution, mais le fait d’avoir défriché, débroussaillé, agrandi l’esprit, agrandi l’entendement, développé la culture, tout cela un jour va leur permettre de recevoir.

C’est un peu comme un initié, ou plutôt comme un disciple qui essaie d’obtenir l’initiation. Tout son travail ne va pas lui apporter l’initiation, qu’il fasse une ascèse, qu’il répète mille et un mantras, mille et une prières, qu’il ne mange plus, qu’il ne boive plus. Tous ces moyens défrichent en lui le terrain qui doit révéler l’initiation qu’il comportait déjà.

C’est pourquoi, un médecin doit être tolérant avec ses confrères qui ne sont pas de son avis par rapport à une recherche, et surtout par rapport à la médecine, lorsqu’il s’agit d’intégrer tout le côté énergétique et occulte de l’homme.

Vous comprenez très bien, qu’un être humain n’est pas capable d’aimer, en imaginant qu’il ait pu avoir beaucoup de traumatismes, de problèmes, ou que son envergure spirituelle encore trop étroite, ne le lui permet pas. Eh bien, il en est de même pour les gens qui n’arrivent pas à accepter l’existence du corps éthérique ou des chakras.

Donc, la percée de la nouvelle médecine, n’est pas une percée que des initiés doivent révéler. Il y a tout simplement des médecins qui, par leurs recherches, leurs pratiques, agrandissent leur esprit. Non pas à cause des découvertes, mais à cause surtout des échecs. Alors automatiquement une porte se ferme et l’esprit qui s’éparpillait dans toutes les directions se centralise, se canalise et peu à peu ouvre la voie qui mène véritablement à la médecine ou plutôt à la guérison.

Il n’y a pas véritablement de médecine, il y a plutôt des actes de guérison, et c’est ce qu’il faut comprendre.

Comment se préparer pour être le terrain qui révèle cette nouvelle médecine ?

Il faut d’abord s’instruire à propos de la constitution occulte de l’homme. Quel que soit déjà votre savoir à propos de la nature physique de la maladie et de l’homme, il faut en plus rajouter toute la constitution occulte. Il faut en fait s’instruire à propos des énergies, connaître la constitution des chakras et les principales causes des maladies, naturellement, des causes énergétiques.

Vous n’aurez pas pour autant le savoir juste lorsque vous serez face à un malade, parce que pour décoder si la maladie vient d’un problème épidémique, karmique, ou d’un chakra, il va falloir utiliser la voyance ou la clairvoyance. Or peu de gens la possèdent.

Ce qui ne veut pas dire que vous devez la développer pour être meilleur médecin ou praticien. Ensuite, il ne faudrait pas qu’au cours d’un diagnostic, votre démarche soit de rechercher la racine de la maladie. Il faut, par la connaissance, élargir l’esprit, afin que vous ne soyez pas bloqués par le côté étrange lorsque vous aurez une intuition pour donner tel ou tel remède, telle ou telle thérapie, ou conseil.


Comment sera le médecin de demain ?

D’abord c’est dans l’université qu’il faut changer la médecine. Ce n’est pas véritablement en changeant le médecin, mais en changeant le programme d’études. Nous parlons là, d’une médecine qui aura lieu dans bien, bien longtemps, avant que le programme lui-même ne soit changé.

Malheureusement, il faut que l’homme ait encore beaucoup souffert, sans trouver les solutions, pour enfin admettre les connaissances ésotériques et occultes à propos de la nature de la vie. Il faudra endurer de nombreux échecs, que surviennent des maladies insurmontables et que se développent encore plus de guérisseurs. C’est par la venue de guérisseurs de plus en plus nombreux qu’aura lieu le déséquilibre afin que l’équilibre ait lieu.

Ainsi, la médecine étant assaillie par de nombreuses maladies nouvelles, des mutations de virus, des dépressions, nouveaux cas de folie, qu’elle n’arrivera pas à contrôler, n’ayant aucun recours, mais voyant que les guérisseurs se multipliant arrivent à des solutions et des guérisons, alors il y aura un point d’entente et de recherche en commun.

C’est cela qui déclenchera ce que vous appelez la nouvelle médecine. Si vous voulez faire des recherches à propos de cette nouvelle médecine, allez puiser auprès des guérisseurs, c’est beaucoup mieux que de créer d’autres fondements à la médecine, car vous ne pouvez pas, à cause des temps qui ne sont pas encore là.

Tout ce que vous pouvez, c’est, à la manière d’un guérisseur, apporter une autre façon de faire, amener un élargissement à propos de la façon de voir, de vivre la maladie, et instruire avec vos connaissances ésotériques, à propos des différentes sources de la maladie, même si vous ne pouvez en avoir véritablement la preuve, puisque, pour beaucoup, vous n’êtes pas guérisseur.

Les guérisseurs vont augmenter en nombre, en qualité naturellement, et chacun va se trouver spécialisé dans un mode d’action, ce qui va permettre à la médecine d’étudier les différents aspects occultes de l’homme.

Voyant qu’un guérisseur détenant un certain type d’énergie est concerné par un certain type de maladie, la médecine aura de quoi étudier. Ce n’est plus l’acte de foi du guérisseur qui accepte les yeux fermés, mais des actes de guérisseurs véritablement spécialisés.

En même temps qu’il y aura ces recherches, les gens de la médecine traditionnelle vont aller happer le savoir, et immanquablement ils seront obligés, sans le savoir, de se transformer. Même si au début, leur désir n’est que d’être des voleurs de feu, peu à peu ils seront séduits.

Celui qui détient déjà un branchement et de la connaissance en médecine traditionnelle, doit développer son propre potentiel initiatique, son potentiel de guérisseur en fait. C’est-à-dire qu’en plus de toute la connaissance mentale, va se développer une perception à propos de la maladie.

Ce qui fait que, même sans clairvoyance, sans voyance, ou sans intuition, il y aura perception du cas de la personne, et cela se développe. Pour cela, il faut méditer, se concentrer sur le rayon de la guérison, sur la part de la hiérarchie qui s’occupe de la guérison, et sur les anges guérisseurs.

Il faut faire un véritable branchement sur cette zone concernant le savoir de la guérison, et sur tous les êtres qui s’en occupent. Faire chaque jour un travail de visualisation avec cette part de la hiérarchie, et demander une collaboration.

Cela ne va pas être évident les premiers temps. Mais il faut que l’individu continue cette démarche, continue ce branchement, tout en développant de plus en plus le côté disciple de sa personne. Il ne peut pas y avoir véritablement guérison du type miraculeux, des découvertes miraculeuses, si l’individu ne possède pas potentiellement un degré suffisant de disciple. Il le faut absolument.

Donc, pour toutes les sciences cachées, c’est le côté disciple qui ouvre les portes. Plus l’individu se raccorde à la hiérarchie de la guérison, plus il a une mentalité de disciple, des vibrations de disciple, et plus il est investi par ces êtres qui opèrent littéralement à travers lui, quelle que soit sa disponibilité, que ce soit un être qui mentalement reste éveillé constamment, ou qui se mette dans un certain état d’ouverture à l’occasion.

Ce qui compte c’est développer ce branchement. Il en est de même pour toutes les sciences et pour tout ce que vous voulez faire, que ce soit pour découvrir les secrets de la nature, ou les secrets d’une autre science. Il faut d’abord se raccorder à la part de la hiérarchie, au rayon qui la concerne et s’envelopper de la couleur du rayon concerné.

Par exemple, le rayon de la science a une couleur spécifique que vous devez trouver, des écrits traitent ce sujet. Lorsque vous faites vos méditations, étant donné qu’il s’agit pour vous de vous brancher sur ce rayon, d’entrer en contact avec les êtres de ce rayon, il faut vous visualiser dans la couleur de ce rayon, et visualiser que cette couleur vous pénètre jusque dans votre sang, que toutes les cellules sont imbibées par ce rayon. Vous incarnez le rayon.

Ainsi, dans la mesure où vous devenez de plus en plus disciples, donc de plus en plus perceptifs, ouverts, toute la hiérarchie qui constitue ce rayon se déverse à travers vous, et vous pouvez faire alors des découvertes fantastiques.

C’est comme cela depuis toujours, il n’y a pas eu un guide qui s’est matérialisé à un moment donné pour dévoiler quelque chose à son disciple. Les guides ont parfois mille choses à faire en même temps, mais par contre si le disciple lui, se canalise complètement dans le rayon de son Maître, automatiquement et inconsciemment de la part du Maître comme de la part du disciple, c’est comme si leurs mémoires s’échangeaient les données.

Le disciple monte avec sa mémoire vierge et propre, et dans cette mémoire (donc dans cette coupe) vient se placer la mémoire du Maître qui contient toutes les informations sur le sujet demandé. Il y a osmose et le disciple a la révélation. Il cherche deux trois minutes, et il a une compréhension. Il marche dans son jardin, il réfléchit et il a un déclic, en dormant il a le rêve qui lui apporte la solution consciente ou inconsciente. Si elle est inconsciente elle lui sera révélée dans ses démarches.

Tout peut avoir lieu dans la mesure où l’individu se branche psychiquement avec la gamme vibratoire qui correspond à sa recherche. Là, est le secret de tout, pour faire le bien, comme pour faire le mal. Car ceux qui pratiquent la magie noire, utilisent exactement le même procédé, mais dans la gamme vibratoire inverse, descendante. Là, il s’agit de créer le branchement avec la gamme ascendante. Naturellement, il est plus facile de créer un branchement avec une gamme vibratoire descendante, c’est clair, c’est net. C’est pour cela, que l’homme doit faire l’effort de devenir un petit peu plus disciple, par rapport à son état normal, pour pouvoir obtenir un branchement avec les guides et les Maîtres.

Donc, quel que soit le rayon que vous avez choisi, étudiez la couleur qui lui correspond, mettez-vous dans cette couleur, prenez le Maître qui lui correspond, et demandez la collaboration.

Naturellement, ce n’est pas véritablement le Maître qui va collaborer, mais toute sa hiérarchie, et quelque part, ce sera l’essence du Maître, et ce sera aussi fort que s’il s’agissait de sa présence.

Pour être un guérisseur du nouveau monde, un chercheur du nouveau monde, il faut être disciple. C’est immanquable. Pour être quoique ce soit qui appartienne au nouveau monde, il faut être disciple. La connaissance, la science de ce nouveau monde va intégrer si totalement tout l’aspect énergétique, qu’il faut absolument être disciple pour pouvoir le comprendre, le ressentir et pouvoir travailler avec. Si vous ne faites que l’étudier, vous n’allez pas forcément le ressentir et vous ne pourrez pas travailler avec cette énergie.

Les hommes qui vivront l’ère future, seront les terrains mêmes de la mutation, de l’alchimie en quelque sorte. Quand ils voudront appeler tel ou tel rayon, ce ne sera pas un procédé magique, comme cela l’est actuellement, mais l’homme sera véritablement investi par le rayon. Cela veut dire qu’il pourra le supporter et qu’il en sera digne.

À l’heure actuelle, la plupart des guérisons, qui concernent la grande manipulation d’énergie, passent par des actes plus ou moins magiques, parce que l’homme n’est pas suffisamment évolué pour contenir le rayon et le renvoyer pour qu’il puisse œuvrer. L’homme n’est pas le relais.

Dans l’invisible, des êtres servent de relais, et l’homme n’est qu’un exécutant de la dernière phase de cette énergie arrivant dans le physique.

Si l’homme pouvait être le canal total et intégral de cette énergie, cette énergie pourrait agir encore plus miraculeusement. Mais pour que l’être humain ne soit pas dérangé, perturbé, brûlé, le relais filtre, et lorsque l’énergie arrive, elle n’est plus aussi miraculeuse que ce qu’elle devrait l’être.

C’est pour cela, qui que vous soyez, médecin, guérisseur, chercheur, ce qu’il faut développer avant tout, avant même de penser à votre don, c’est de développer votre état de disciple. Plus vous le développez plus votre don sera multiplié, pas seulement par deux ou par trois, mais je parle de cinq, six, même dix fois.

Plus vous vous épurez, plus vous augmentez votre vibration, et plus vous devenez alchimique vis-à-vis des autres. Vous pourrez prendre leur karma, cela ne vous dérangera pas. Vous pourrez brûler leur cancer, il n’y aura pas de problème, leur rendre la vie, comme a fait ce grand frère en Palestine, et il n’y aura aucun problème. Tout dépend de ce que l’homme est capable de transmettre en énergie, là est le secret.

Mais naturellement pour transmettre, donc pour être le terrain de mutation de toutes ces énergies, il faut développer votre propre terrain énergétique. À ce moment-là, vous représentez ce qu’est l’ampoule dans une pièce à éclairer. Si le Maître juge que vous, petite ampoule, n’êtes pas assez forte, il va créer des filtres qui diminuent l’intensité du courant à passer.

Ce qui fait que, selon l’ampoule, l’envergure de l’ampoule, la pièce va être plus ou moins éclairée, la découverte va être plus ou moins complète, la guérison va être plus ou moins totale. C’est pourquoi il faut absolument développer votre propre ampérage en quelque sorte, car tout se passe par transmission d’énergie.

Nous, nous voudrions bien, à cause de l’état dans lequel se trouve l’humanité, transmettre à tous les médecins, à tous les guérisseurs, les voyants, les magnétiseurs, un pouvoir absolu de guérison totale. C’est ce qui nous arrangerait, vous pensez bien. Mais si on faisait cela, vous seriez les premiers à mourir, de la même manière que si on envoyait la pleine intensité d’électricité dans l’ampoule, elle serait grillée.

Donc, c’est à vous d’augmenter votre capacité vibratoire. Plus vous êtes dépositaire de l’énergie universelle, moins vous le serez d’une énergie dérivée.

C’est l’énergie universelle qui arrive à donner la révélation de tous les mystères, la guérison miraculeuse de toutes les maladies, et de toutes les possessions. Vous savez très bien, que ce n’est pas d’ici un an, même dix ans que vous arriverez à être un Jésus-Christ. Peu importe, mais en essayant de faire cet éveil en vous, vous arriverez en une seule vie peut-être à doubler, tripler ou quadrupler votre propre potentiel.


Comment procéder ?

Être un disciple ce n’est pas compliqué, mais en même temps cela réclame une certaine discipline. Il faut que la démarche soit sincère. Tout repose dans la continuité de la discipline, sur la sincérité, l’authenticité du cœur qui fait la démarche en fait.

Si c’est simplement pour développer quelque chose, mais on ne sait pas trop quoi, si c’est pour être mieux, alors que l’on ne se sent pas bien, il ne faut pas envisager d’être disciple. Il faut, avant tout, vous occuper de vos problèmes, les vieux problèmes avec les voisins, avec le passé, avec les traumatismes etc., les régler et ensuite penser à devenir disciple.

Pour faire ce balayage, toutes les méthodes existent à l’heure actuelle. Utilisez aussi les méthodes de respiration pour vous libérer de vos problèmes ou de certains petits défauts. Vous pouvez par la respiration conscientisée vous libérer, nettoyer l’inconscient, mais il faut participer pleinement. S’il vous manque de la participation, alors la respiration ne sert pas, il vous faut passer à d’autres techniques plus axées sur la relaxation.

Une fois que ce nettoyage est fait, passez véritablement à la discipline, ce qui ne veut pas dire, qu’elle soit extrême  et stricte. Cela doit se faire naturellement, vous n’avez même pas à vous forcer. Le simple fait, de faire la démarche et d’être véritablement authentique, fait que la discipline devient naturelle, devient, en quelque sorte, votre vraie nature.

À partir de ce moment-là, envoyez chacune des pensées dans un accomplissement de bien, aussi bien pour l’humanité que pour vous-même, et vivez en étroite relation avec la hiérarchie, ce que nous appelons et ce que vous appelez la hiérarchie. C’est un symbole très pratique.


Comment développer justement cette intimité, cette relation quotidienne ?

Certains pourraient employer la persuasion : je suis en contact avec la hiérarchie, le croire, se forcer à le croire, et puis sentir que, finalement, il n’y a pas de résonance. Ce n’est pas avec la persuasion que l’on crée cette relation.

C’est d’abord avec une démarche authentique, je le répète, et ensuite par une mise en pratique quotidienne de ce que vous savez ou ce que vous êtes déjà, si vous possédez un don ou une activité qui puisse aider les hommes.

Chaque matin, à force de visualiser intentionnellement votre branchement avec la hiérarchie qui vous convient, de demander l’assistance, la collaboration, d’essayer de vous anoblir et d'œuvrer, c’est comme une roue à aubes qui se met à tourner. Automatiquement, l’énergie que vous avez appelée, par visualisation le matin, descend sur vous, et en même temps qu’elle descend pour servir aux autres, en passant à travers vous, elle vous initie davantage.

C’est pour cela qu’en fait, le serviteur est le premier servi, le disciple est le premier à être initié, parce qu’en fonctionnant, il est le terrain de l’échange de l’énergie. Ses chakras sont ouverts, et intuitivement, ou de manière impromptue, les choses, les renseignements, les gens viennent vers vous, ou vous allez vers eux de manière naturelle. S’il vous faut alors une nouvelle méthode de méditation, découvrez-la dans un livre, ou créez-la vous-même par intuition, ou rencontrez quelqu’un qui vous la donne. Mais ce qu’il faut avant tout c’est créer le branchement. L’homme de demain sera un homme vivant.


Quelle est la différence entre un homme mort et un homme vivant ?

Un homme vivant, c’est un homme qui vit véritablement son concept cosmique d’homme. Un homme vivant, c’est un homme qui est relié avec sa source première d’énergie, avec son âme en fait. Alors naturellement, les degrés de relation avec l’âme vont être différents selon votre capacité momentanée présente, mais cette capacité ne dépend que de votre effort d’aller toujours plus loin à chaque instant.

Lorsque les hommes viennent vers nous, que ce soit par l’esprit, par leurs prières, ou par leurs colères, ils ne comprennent pas, qu’avant toute chose, ils doivent être branchés avec la hiérarchie. Quelle que soit votre activité, faites-le, cela apporte la vie aussi bien à l’âme qu’à l’esprit, cela fait tomber sur vous l’eau qui va développer davantage votre préparation énergétique avec laquelle vous êtes nés, cela va initier votre esprit à voir les choses chaque fois plus grandes.

Mais si pour beaucoup vous avez déjà une démarche spirituelle, souvent, il vous manque quand même le branchement avec la hiérarchie, qui ne signifie pas forcément avoir un don. Lorsque je parle de branchement psychique, je parle en fait de ce branchement vibratoire, qui fait que, consciemment, ou intuitionnellement, l’individu perçoit qu’en lui, vibre quelque chose de vivant.

Dès que vous vous sentez être vivant, vous ne pouvez plus douter: vous êtes branchés avec la hiérarchie. Et à ce moment-là, la force et la puissance viennent en vous et sur vous, quel que soit votre caractère, timide, enfantin, peureux. Tout est transformé, et la conviction de l’acte s’installe, une grande force s’installe en vous. Ce n’est pas votre force, mais elle devient votre force. Je vous en prie, avant tout, branchez-vous avec la hiérarchie.


Comment vous brancher ?

Faites chaque matin un petit rituel, que chacun ensuite prolongera à sa manière, selon sa méthode de relaxation ou de méditation, ou suivant ce qu’il découvrira par intuition ou, par la suite, par connaissance.

Prenez trois bougies que vous disposez en triangle la pointe tournée vers l’Est. Au centre du triangle mettez une bougie plus grosse dans une coupe remplie d’eau et déposez autour des fleurs, des éléments selon votre propre perception. Au centre vous ferez en fait selon votre propre rayon. Et récitez la grande invocation.

Quand vous énoncez la première phrase de la grande invocation, allumez la première bougie pointée vers l’Est, afin que cette flamme porte et soit la manifestation de cette première strophe.

Quand vous récitez la deuxième strophe, allumez la bougie de gauche.

Pour la troisième strophe, allumez la bougie de droite.

Pour la quatrième strophe la bougie du centre.

Ensuite, avec les derniers mots de la grande invocation, vous repassez sur chaque bougie et vous faites un signe de Croix pour consacrer le tout avec le signe cosmique du Christ.

En faisant ce rituel, pensez que tout votre être se canalise et monte comme un tube de lumière, vers la hiérarchie, que vous pouvez imaginer comme un énorme soleil ou comme un grand temple qui émet des sons, des mantras. Peu importe, faites selon votre ressenti.

Installez-vous en méditation et visualisez le branchement.

Il faut ensuite vous aligner sur les trois points.

Vous imaginez un filet de lumière qui réunit le centre du cœur, le troisième œil et le chakra coronal et qui monte comme un grand tube vers cette hiérarchie. Vous maintenez cette visualisation autant que vous le désirez, selon que vous êtes un être à faire de la visualisation, ou un être du type passif, et ensuite, vous faites ce qui vous plaît.

Lorsque vous terminez la méditation, vous éteignez chaque bougie en répétant, chaque strophe de la grande invocation et vous renvoyez toute l’énergie avec vos mains vers le ciel, vers la hiérarchie, et vous saluez. Car il faut toujours saluer, non pas pour reconnaître que les êtres invoqués ou que le rituel effectué soit quelque chose de royal qu’il faut saluer, mais dans le fait de saluer, l’homme rejoint, ramène, tous ses courants vers la terre.

Tout le surplus d’énergie, qui risquerait quelque part de l’échauffer, ou pire de le perturber, retourne vers la terre, et de ce fait, il devient un être en grand équilibre. Ce qui lui manque en énergie il va le garder, n’est renvoyé que le surplus. Donc il faut saluer de façon que le chakra de la tête soit face au sol pour qu’il déverse son surplus.

Faites cela tous les jours, peu importe le temps que vous y passerez, dix minutes pour ceux qui n’ont pas plus de patience, ou qui sont de nature nerveuse, ou une demi-heure pour ceux qui sont un peu plus passifs. Il faut respecter sa nature, attention il ne faut pas se tromper, se leurrer sur soi-même. Il ne faut pas se dire :

« Si je médite une demi-heure, j’aurai bonne conscience, et je serai un bon disciple. »

Soyez authentique avec vous-même.

Si vous ne supportez pas plus de dix minutes n’accélérez pas, c’est à force de méditer uniquement dix minutes, que cela va développer en vous la capacité de le faire ensuite plus longtemps. Soyez honnête à la base, véritable en quelque sorte, comme un cristal. Alors les cieux pourront se refléter en vous.

Plus vous développez ce branchement, plus vous allez avoir de révélations, plus vous allez rencontrer les personnes qui vont vous guider pour obtenir ces révélations, ou vont vous les faire. Vous irez plus loin dans votre intuition, vous aiguiserez vos capacités mentales.

Comment prétendre faire des recherches, si, les énergies mentales de l’individu sont quelque peu sclérosées à cause du mode de vie, ou qu’elles plafonnent à cause du degré initiatique atteint ?

Il faut toujours renouveler les capacités énergétiques du mental. Le mental est un des corps les plus subtils de l’homme, l’intellect est la forme extérieure. La méditation apporte une grande intelligence, et permet un développement supérieur de la découverte, parce que cela grandit, subtilise le corps mental, là où passent tous les échanges en vérité. Ensuite, ce n’est plus qu’une projection dans l’intellect. Ce qui compte, avant tout, c’est de développer ce corps mental, de l’alimenter, de le rendre très vibrant, très réceptif.

En développant ce que je viens de vous dire, vous allez d’une certaine manière activer, mais tranquillement, sans danger, la pinéale, qui correspond directement au plan mental. C’est en quelque sorte la voie de l’âme, la pensée de l’âme.

Si la pinéale est activée par le moyen de la méditation ou les exercices du souffle et d’une certaine manière une nature de disciple, la voie de l’Âme descend dans ce réceptacle qu’est la pinéale et rayonne dans toutes les autres glandes, dans tout le système nerveux qui aiguise vos perceptions, car l’homme capte par son système nerveux.

Le don lui-même dépend du taux vibratoire du système nerveux, ce qui ne veut pas dire que les nerveux ont des dons, il ne s’agit pas du même taux vibratoire. Plus le système nerveux est aiguisé et plus l’individu va posséder un don performant, car la perception est équivalente.

Donc, il faut, en vous, aiguiser toutes les perceptions, toutes les zones réceptives comme la pinéale, la thyroïde, chacun des chakras. Tout ceci se gagne en développant vos vibrations, votre taux vibratoire, donc en étant disciple.

Il n’y a pas de secret.








Question :

Pouvez-vous nous parler de la stérilité des femmes, qui irait en s’accroissant, et des méthodes utilisées pour essayer d’y palier ?


La stérilité a toujours été un véritable fléau, c’est-à-dire qu’elle a toujours eu un pourcentage élevé. Mais à chaque époque les causes sont différentes. La cause principale, disons ce qui qualifie la plupart du temps ce problème sur un plan énergétique, c’est un blocage que fait la femme par rapport à la loi.

La loi dit, que chaque espèce doit se renouveler d’elle-même. Il y a des femmes qui, par leurs expériences passées dans d’autres réincarnations, souffrent terriblement de cette loi, soit parce qu’elles sont mortes à l’accouchement ou ont eu des enfantements très douloureux, soit parce qu’elles ont parfois mis au monde des enfants handicapés.

La volonté de mettre au monde étant un acte qui fait peur, cela crée dans la mémoire de la femme des chocs qui bloquent cette volonté. Pour beaucoup de ces personnes, quelque part il y a eu faute. Lorsque je dis cela, je ne voudrais pas accuser ou critiquer toutes les femmes, ou tous les hommes atteints de stérilité.

L’homme n’a pas toujours été un être très développé, et au cours de ses nombreuses réincarnations, il a eu parfois des comportements très sauvages sur tout ce qui concerne le plan sexuel. Ce qui fait que, l’âme fait une sorte d’obsession à propos de ce problème qu’elle n’arrive pas à sublimer de vie en vie.

Une certaine hantise se pose sur les organes sexuels à les voir en activité, parce que d’une certaine manière, pour ces personnes, dans leur esprit, c’est l’endroit où ils ont péché, c’est par là, où ils ont été le plus rattachés à la matière, où ils se sont fait honte eux-mêmes, alors que Dieu et les Maîtres ne leur reprochent rien.

Il n’y a pas pire juge que l’âme vis-à-vis d’elle-même. Lorsque vous avez un remords à propos de quelque chose, vous souffrez cent fois plus que si quelqu’un vous faisait un reproche. Il y a une véritable torture intérieure. Ce qui fait qu’au fur et à mesure des réincarnations, l’homme passe par tous ces états, alors qu’aucun reproche ne lui est fait par un Maître. Il a une fixation qui bloque littéralement l’épanouissement de ce centre sexuel.

C’est ce qui fait aussi qu’il y a de plus en plus des cas de sexualité, des cas de mésentente, de désaccord, de manque d’accomplissement, alors qu’aujourd’hui les mœurs se libèrent et les rapports sexuels ne sont plus un obstacle.

L’homme, développant plus de conscience, développe en même temps le jugement, l’auto-jugement. C’est ce qui amène une nouvelle vague de résurgence de maladies ou de maladies nouvelles, et des blocages comme dans le cas de la stérilité. Dans ces cas-là, il faut apprendre, il faut rééduquer la personne à vivre l’acte de procréation, pas seulement l’acte sexuel, mais à vivre l’enfantement d’une manière positive.

Si vous alliez fouiller dans l’inconscient de ces personnes, vous verriez que se nichent des tas de fantômes : naissance d’enfants handicapés, comportements suspects voire prostitution, etc.


Lorsque se réincarnent ces personnes, que se passe-t-il ?

Pensez-vous que d’un seul coup ces personnes vont devenir des anges ?

Non

Il y a forcément à ce niveau-là, encore un blocage, et surtout une autodestruction. Il y a le mea culpa.

Donc, il faut nettoyer leur inconscient. De toute manière, chaque fois qu’il y a infirmité, alors que les organes eux-mêmes sont normalement constitués, il faut aller chercher dans les mémoires passées la racine du mal. Rééduquer la personne à vivre la chose de manière positive et la déculpabiliser.

Il n’y a rien de plus meurtrier que la culpabilité. Cela tuerait le bon Dieu s’il se sentait coupable de quelque chose. Parce que cela crée un effet de rétroversion dans les énergies, il n’y a plus construction, il y a destruction après obturation.

Ce qui fait que, si quelqu’un développe un cas de stérilité dans sa vie présente, il est fort possible, que dans sa prochaine vie, il développe au même endroit un cancer ou une tumeur quel qu’en soit le degré. Parce que l’énergie, à force d’être coincée, sclérosée, finit un jour par se désagréger. Naturellement ce cancer va être libérateur, parce que cette mémoire va être nettoyée, c’est un peu comme lorsque l’on crève un abcès.

Mais plutôt que de passer par toutes ces douleurs, il serait bon, pendant quelques mois, d’apprendre à ces gens à nettoyer leur inconscient. Ce qui se fait très facilement, vous avez actuellement toutes les méthodes pour le faire, parce que vous avez la connaissance de cet aspect caché de la conscience. Ce qu’il faut, c’est juste adapter la méthode au cas qui concerne votre démarche, et vous pouvez faire de véritables séminaires, pour réapprendre à penser.


Comment cela se passe-t-il ?

Il faut mettre la personne dans le cas critique. Bien sûr, vous ne pouvez pas savoir si la personne a eu des enfants infirmes, ou si c’est parce qu’elle a eu plusieurs vies en tant que prostituées, homme ou femme, ou si c’est tout simplement une peur parce que lors de plusieurs accouchements elle a énormément souffert, ou décédée.


Mettez une musique, ou tout simplement une voix magnétique et ensuite dépeignez les cas les plus tragiques.

Faites imaginer à la personne qu’elle est au Moyen âge, quelque part sur une roche, qu’elle porte en elle un enfant, que l’enfant n’arrive pas à naître et qu’elle meure dans d’atroces souffrances. Mais ceci doit se faire assez vite pour ne pas déranger la personne.

Faites imaginer ensuite, qu’elle est sur le point d’accoucher, qu’elle est au bout de ses forces et qu’en même temps que l’enfant est libéré, son âme rejoint l’éternel.

Ensuite faites-lui imaginer qu’elle subit un avortement qui tourne mal, comme il y en a eu très souvent et à toutes les époques.

Puis qu’elle met au monde un enfant anormal. Tout ceci, tout ce panorama, vous devez le décrire très rapidement à la personne pour qu’elle ne se polarise pas sur ces images néfastes, mais que sa conscience soit portée sur ces points, de manière à réveiller l’égal souvenir dans son inconscient, par osmose en quelque sorte.

Ensuite vous lui dites : Voilà, vous êtes une de ces personnes. Si la personne est véritablement relaxée, immanquablement son inconscient va choisir le cas qui la concerne, comme dans la méthode des rêves conduits. Vous citez tout simplement tous les cas, toutes les catégories, et l’inconscient de la personne dès qu’il va sentir son cas cité, va le prendre.

D’une certaine manière la personne va le revivre, mais pas de manière aussi tragique, aussi forte que s’il s’agissait d’une séance d’hypnose. Il faut simplement réveiller dans l’inconscient la même corde, et ensuite apprenez-lui à mourir en quelque sorte, puisque dans la plupart des cas il y a eu mort à l’accouchement, ou une mort intérieure à cause d’un enfant handicapé.

Donc Il faut que vous lui appreniez à mourir sans peur, et sans angoisse, quel que soit le cas qu’elle ait choisi, c’est ce que vous lui direz.

« Quel que soit le cas que vous avez choisi, maintenant vous êtes contrainte de mourir. Apprenez à mourir gentiment, sans peur, sans angoisse, acceptez la libération. Ne regardez pas l’enfant qui va vivre seul, ou ne dédaigniez pas l’enfant infirme qui a été mis au monde. Simplement acceptez l’état de chose sans révolte, sans angoisse. »

Ajoutez à cela de la relaxation tout à fait classique pour détendre l’esprit, et concluez avec des paysages de printemps.

Actuellement la vie moderne, le stress et l’abus de produits chimiques sont aussi des facteurs de cas de stérilité.

En ce moment, à cause des énergies nouvelles qui vont rendre la femme nouvelle, il y a mutation du corps féminin. Donc, la femme, étant en mutation, est plus spécialement visée par les énergies, elle se trouve un petit peu plus fragile dans tout ce qui la constitue.

Si elle abuse de la vie et de l’activité de la vie moderne, plus l’abus de certains produits chimiques, de certains excitants comme les drogues, le café etc., il y a parasitage au niveau des énergies qui visent la reproduction. Parce que la reproduction ne serait pas souhaitable, étant donné que le type féminin est en mutation pour être un type nouveau dans la nouvelle ère.

Si on contamine ce changement avec des données qui ne sont pas souhaitables, des données qui viennent aussi bien du psychisme, de la vie stressante, ou qui viennent tout simplement de l’abus de certaines drogues, ou de produits chimiques comme certains médicaments, le nouvel ADN qui doit s’instaurer dans cette femme, se trouve mal programmé en quelque sorte, la nouvelle race serait mal programmée et ne serait pas la race souhaitée. Alors les énergies se mettent en place pour contrecarrer les niveaux de reproduction afin que l’ADN soit préservé.

Ceci, est pour les femmes qui se placent dans la zone où justement elles peuvent devenir des nouvelles femmes.

Maintenant, il n’y a pas de problème pour les personnes qui continuent à appartenir à l’ancien monde, et qui peuvent avoir des enfants, car il ne faut pas faire une généralité de tout. N’oublions pas qu’il y a interpénétration des deux zones, de l’ancienne et de la nouvelle.

Il y a des personnes qui, tout en continuant à appartenir à l’ancien monde, peuvent très bien continuer à enfanter, parce qu’énergétiquement elles sont en harmonie. Mais dès qu’il y a mutation, dès que certaines personnes s’éveillent, même s’il n’y a pas forcément une démarche spirituelle, mais si sur un plan vibratoire elles ont atteint un certain degré pouvant permettre la mutation, alors ce sont plutôt ces personnes qui sont visées par la stérilité.

Ne pouvant pas s’adapter à la discipline, il vaut mieux que leur moyen de reproduction soit coupé, parce qu’elles transmettraient de fausses données à la nouvelle race.

Il vaut mieux reproduire selon les normes de l’ancien monde, que d’essayer de produire des mutants qui ne seraient pas conformes aux normes spirituelles futures. Il vaut mieux quelqu’un d’un petit peu vieux, qu’un mutant qui est désordonné et incontrôlable.

N’oublions pas qu’il s’agit justement de créer des mutants, et c’est pour cela qu’il doit y avoir une grande sélection parmi les personnes qui sont en mutation, tandis que les autres peuvent tranquillement avoir leurs enfants.





Question :

Lors d’un entretien, l’année dernière, vous nous avez dit, qu’il y avait beaucoup à dire sur l’homéopathie. Et comme nous sommes plusieurs à pratiquer cette médecine, est-ce que vous pouvez nous en dire un peu plus ?


Il y a beaucoup à dire sur cette science parce qu’elle va au-delà du corps physique. Elle arrive à toucher jusque dans le profond de la psyché, en passant par le corps éthérique et quelquefois aussi le corps astral. Et il y a véritablement impact dans le corps astral, dans la mesure où vous arrivez à toucher la psyché de la personne, donc l’inconscient en quelque sorte.

Avec l’homéopathie vous pouvez toucher l’inconscient et changer la personne, puisqu’il s’agit d’aller renouveler dans la psyché un taux vibratoire plus ou moins endormi ou en perturbation.

Ce qui ne veut pas dire que voilà une nouvelle solution à tous les problèmes psychiques des individus.

L’homéopathie va convenir parfaitement à quelqu’un pour le traiter au niveau de ses humeurs, et de son état de conscience. À un autre, dans le même état, il faudra plutôt lui conseiller des exercices respiratoires, ou bien de la relaxation, ou bien un changement alimentaire. Il s’agit tout simplement d’arriver à diagnostiquer à quelle personne et quel terrain vous avez à faire.

Revenons à la partie conscience de l’homme que l’on peut changer avec l’homéopathie.

La conscience est constituée par des milliers, des milliers de petites particules énergétiques. La conscience est un phénomène énergétique qui passe par tout le réseau du système nerveux. Donc, c’est par le concret du physique, des sens, et du système nerveux, que l’homme édifie sa conscience, son auto-conscience en quelque sorte. C’est pourquoi l’expérience par le physique est absolument nécessaire, sinon il n’y a pas prise d’une auto-conscience.

Cette auto-conscience s’édifie comme vous programmez un ordinateur. Du fait que vous êtes incarnés, vous possédez des sens, et un système nerveux. Par ceux-ci, vous arrivez à avoir des expériences qui se transforment en données, qui vont dans le cerveau et sont transmises à la grande mémoire astrale, par les différentes glandes, notamment la pinéale, en autres données plus subtiles, plus énergétiques.

Cette mémoire astrale détermine toutes vos couleurs, vos chakras, toutes vos aptitudes, et détermine même votre prochain ciel de naissance astrologique. Car, attendu que tout est résonance, et que tout est échange vibratoire, vous allez vous réincarner en correspondance exacte avec vos étoiles, du simple fait et à cause du simple effet de ces particules qui vous constituent.


Que veut dire être une conscience ?

Être une conscience veut dire que ces milliers de particules énergétiques qui vous constituent, entrent dans une certaine activité, par rapport à l’action du concret et de votre vie physique.

Étant donné que l’homéopathie est une vibration et qu’elle arrive à toucher le niveau vibratoire de l’homme, selon les défauts qui le caractérisent, ou son comportement débordant ou trop inhibé, si vous arrivez à trouver le remède et le dosage qu’il lui faut, par correspondance vibratoire, vous allez pouvoir enlever soit l’inhibition, ou au contraire l’extraversion, la frustration.

Mais, il y a condition. Si ce problème a été amené dans la personne par traumatisme, donc s’il a subi, étant donné qu’il n’y a pas de loi karmique, alors, l’homéopathie peut arriver à l’enlever. Mais s’il s’agit d’un défaut que l’homme transporte, qu’il doit expérimenter, donc qu’il doit lui-même par efforts, et par leçons initiatiques, s’en débarrasser, alors, quel que soit le remède, vous n’arriverez pas à le libérer.

Par contre, en alliant votre remède à son propre effort, il aura un soulagement dans l’effort à produire, mais cela ne remplacera pas l’initiation qu’il doit trouver lui-même. Il y a toujours un conditionnel à l’homéopathie dans ces zones d’action.

Biens des passions peuvent être défaites par ce système. Personnes trop sanguines qui se font du karma par trop de violence, personnes maladivement timides, trop inhibées.

En combinant l’homéopathie qui concerne la personne avec un régime alimentaire approprié, en choisissant d’autres aliments que ceux qu’elle choisit traditionnellement qui perpétuent son état physique et qui continuent à programmer sa psychologie, automatiquement vous changez littéralement le terrain de la personne.

Mais il faut faire attention. Il faut avoir le consentement et l’assurance que la personne intéressée fasse l’effort de vouloir participer pour changer. Si en bon médecin, en bon guide, vous intervenez aussi totalement chez un homme sans qu’il fasse lui-même l’effort, vous le mettez en état de perturbation, de déséquilibre parce qu’il n’est plus lui-même, et aurait encore plus de problèmes que si vous n’aviez rien fait.

Cette démarche doit être couverte par l’assurance que l’homme fait en même temps, la véritable démarche de se prendre en charge pour un changement. C’est pour cela que le médecin de demain sera aussi nécessairement un guide, parce que les hommes voudront tous être disciples.

À l’heure actuelle cela ne servirait à rien, parce que, quels sont les profanes qui ont l’idée d’être disciples ?

Donc, si le médecin avait tous les remèdes, il n’y aurait encore peu d’effet, et peut-être encore plus de perturbations, parce que justement, chaque fois que l’on a accès à quelque chose qui peut changer jusqu’à la nature psychique de la personne, on peut libérer l’homme ou alors l’enfoncer encore plus dans les ténèbres, comme dans le cas où l’on ouvre artificiellement un chakra.





Question :

Est-ce qu’une thérapie avec les aimants peut être dangereuse ?


Avec les aimants, pas du tout, dans la mesure où la technique est bien connue et véritablement appliquée selon la méthode. C’est-à-dire qu’il ne faut pas improviser avec les aimants.

En eux-mêmes, les aimants ne sont pas dangereux. Mais lorsqu’ils sont utilisés avec l’envie de changer l’état vibratoire d’une personne, dès qu’il s’agit de toucher la polarité de la personne, si cela n’est pas fait selon la méthode pour que rien ne soit perturbé, il peut y avoir fermentation d’un terrain à maladies, puisqu’à ce moment-là l’homme est dépolarisé.

Donc il n’y a aucune contre indication à utiliser les aimants, mais il faut le faire selon une méthode bien précise, et ne jamais faire de fantaisie, en quelque sorte, à propos de la méthode.

Changer la polarisation de l’homme n’est pas un problème, parce que c’est le côté énergétique le plus dense, le moins important en fait. Mais en même temps, cela représente une barrière de sécurité vis-à-vis de tous les circuits vibratoires qui le composent et qui composent aussi l’extérieur, les autres personnes, la nature, etc. La polarité, c’est ce qui permet de maintenir un champ de forces. C’est cela qu’il faut bien comprendre.

Plus tard, vous découvrirez, qu’en jouant sur le système de la polarité, l’homme arrivera à une parfaite anesthésie, sans l’intervention d’aucun élément chimique, simplement en jouant sur la polarité.

La polarité n’a pas d’autre but que de former la coque extérieure de la constitution vibratoire de l’homme, elle crée un champ de forces. Dans ce champ de forces, l’homme arrive à se former, à être lui-même, à avoir ses propres chakras. Si l’homme n’avait pas ce champ de forces qu’il forme, qui constitue en fait la forme ovoïde de son aura, il serait éparpillé, très épars, et il serait un léger fluide qui passe dans la nature.

Au contraire, il est emprisonné, et ceci est permis grâce à la forme et aussi à la volonté de la loi qui veut que des consciences individuelles soient formées. Donc, il faut avant tout créer une polarité, qui crée un champ de forces distinct. Dans ce champ de forces, l’homme prend son véhicule physique, et il arrive à maintenir son énergie à l’intérieur du corps, à l’intérieur du champ, et ainsi, petit à petit, il édifie son individualité, son identité.

Et puis un jour, ce champ de forces éclate, et l’homme retrouve, en pleine conscience, la conscience universelle. À partir de ce moment-là, l’homme n’est plus individuel, mais il lui a fallu passer par ce creuset que sont la forme et l’identité, pour développer une auto-conscience. C’est le but de la matière et de toutes les incarnations.

Donc les aimants sont à utiliser, c’est très bien, mais il faut faire des recherches à propos des aimants, parce que, comme je vous le dis, en jouant avec cette polarité, il y a moyen d’anesthésier totalement la personne. Lorsque l’on arrive à changer la polarité d’un homme, les atomes, les cellules, les molécules qui composent son corps physique ne sont plus rivées vers l’intérieur, donc assujettis à tout le système nerveux. Au contraire, leurs consciences, leurs antennes vibratoires sont tournées vers l’extérieur.

C’est comme s’il y avait déconnexion de chaque molécule, de chaque cellule vis-à-vis du système nerveux, car s’il y a douleur c’est par rapport au système nerveux, c’est lui qui transmet la notion et l’impulsion de la douleur. À ce moment-là, il y a anesthésie vibratoire.

Il y a aussi de multiples choses que l’on pourrait enlever grâce aux aimants : douleurs inflammatoires, rhumatismes, rhumes, certaines congestions, tout ce qui est de nature prison vibratoire.

Donc, pour tout ce qui est maladie née à cause de congestion, ou à cause d’inflammation, l’aimant est roi. Il libère, il crée une sorte d’ouverture, et l’énergie qui normalement est véhiculée de la cellule au système nerveux, libère la douleur, et la cellule émet directement à l’extérieur, dans le vide, dans la nature.

Ce qui ne veut pas dire qu’il y a guérison, il y a tout simplement détournement de l’impulsion vibratoire, et ainsi la personne est libérée de la douleur.







Question :

Chez l’homme tous les phénomènes physiques sont-ils toujours précédés par des lésions psychiques, surtout en cancérologie ?


À quatre-vingt-dix pour cent oui, mais il faut considérer aussi le travail des chakras. Cela est important dans l’étude du cancer ou plutôt dans la guérison du cancer.

La perturbation d’un chakra peut être amenée par une lésion psychique, mais aussi par un état de fait d’évolution. Ce qui ne veut pas dire que les initiés développent forcément des cancers. C’est selon comment l’homme arrive à gérer le taux vibratoire contenu dans un chakra, s’il met trop longtemps à le transférer ailleurs, ou s’il n’a pas les moyens de l’extérioriser, parce que le chakra se développe sans partager, sans être une roue qui distribue, alors le chakra se sclérose et prépare le terrain.

C’est pour cela que je vous dis, il faut voir selon les cas, selon le terrain de la personne, ses faiblesses astrologiques, sa génétique, son alimentation ou son milieu tellurique. La personne pourra développer un cancer, parce que le surplus d’énergie crée l’anarchie dans les molécules. Cette source du cancer existe, mais quatre-vingt-dix pour cent des cancers sont dus à des lésions psychiques.

Beaucoup de maladies arrivent en fin d’ère. Elles sont des moyens de crever les abcès qui se sont gonflés pendant plusieurs réincarnations au cours de l’ère. Alors à un moment donné, il faut accélérer la purification, la préparation pour monter le taux vibratoire, se défaire de ces vieux linges que l’on traîne depuis trop longtemps.

En fin d’ère, peuvent naître ces maladies, qui en fait, sont des rejets, de véritables crachats du corps énergétique de l’homme. C’est pour cela qu’il y a beaucoup de cancers dans ce siècle-ci. Étant donné que l’on arrive à la fin de l’ère, que l’homme doit être nouveau, c’est le désir des âmes de bonne volonté de liquider les derniers linges sales, de faire en quelque sorte la lessive, pour se préparer à entrer dans l’ère nouvelle.

Naturellement cela se passe aussi chez les profanes. Il y a aussi des gens qui ont des intentions spirituelles, même s’ils ne sont pas forcément dans un groupe spirituel, mais leur fond, leur bon cœur, leur générosité, leur grandeur d’esprit sont là. Il a dit :

« Il y aura beaucoup d’appelés et peu d’élus. »

À l’heure actuelle, toutes les âmes qui ont un quelconque éveil, un quelconque pressentiment de ce que serait l’homme nouveau, sont en train d’essayer de liquider les derniers karmas accumulés pendant les deux mille ans passés.

Donc il y a beaucoup de cancer à cause de cela. C’est le grand nettoyage psychique. Des karmas dus depuis plusieurs siècles sont évacués de cette manière brutale. Forcément, pour l’homme qui contemple, c’est difficile, c’est très difficile. Mais néanmoins pour l’âme qui expérimente, c’est une grande joie.

Il faut cependant faire des recherches à ce propos. Il faut le guérir naturellement, mais il ne faut pas oublier le côté initiatique. Chaque fois que vous voulez véritablement intervenir positivement auprès d’un cancéreux, considérez tout autant son terrain physique que son terrain initiatique. Il faudrait pouvoir évaluer sur quel plan de conscience il se trouve, et essayer de le développer là où il coince, dans la compréhension, dans l’acceptation.

Beaucoup de personnes sont perturbées parce qu’elles ne veulent pas, soit par paresse, soit par manque d’énergie encore latente, se mettre véritablement à la méditation, alors que leur corps, leurs chakras, et leur activité en ont réellement besoin.

À ce moment-là elles sont en perte d’énergie, elles décalent leur corps astral, et tous les cancers peuvent avoir lieu.

Dès que l’homme tombe en dessous de la zone vibratoire dite de santé, par paresse, par obstination, par manque d’envergure ou par karma, le cancer peut avoir lieu. Un cancéreux est avant tout quelqu’un qui est descendu en dessous du seuil vibratoire de bonne santé, alors il se développe l’envers de la santé, c’est-à-dire la maladie.

Chaque fois que vous tombez dans l’envers du miroir, vous développez toutes les notions de la vie de cet autre milieu. Descendre dans un taux vibratoire inférieur, c’est développer la maladie.

Si vous guérissez un cancéreux sur un plan physique et puis qu’éthériquement, astralement, son taux vibratoire est resté bas, il n’est pas débarrassé de la maladie, il peut y avoir transfert, rechute ou de graves cas de dépression. Il faut donc en même temps que le terrain est soigné, rehausser le taux vibratoire de la personne, mais pas n’importe comment.

Par exemple, s’il était utilisé des ondes de forme, dans la mesure où le terrain ne serait pas suffisamment cicatrisé, il pourrait y avoir au contraire développement de la maladie. Cela apporterait de l’énergie non pas pour obtenir la santé, mais à l’anarchie.

Donc il faut amener le malade sur un seuil vibratoire de santé par des moyens qui concernent le terrain, comme l’alimentation, la fréquentation de la nature, un bon sommeil, un bon équilibre psychoaffectif, et le choix d’un milieu tellurique favorable.

Il faut donc à partir du terrain, recréer le taux vibratoire et après seulement, utiliser les ondes de forme, ou certains minéraux, métaux, pour donner le coup de fouet final, qui à ce moment-là serait le bienvenu.

Par rapport au cancer, il y aurait beaucoup de choses à dire, parce qu’il y a plusieurs sources, mais la plus magistrale est celle que l’on vient de citer.

Par rapport à la guérison du cancer, il y a autant de méthodes à choisir, qu’il existe de malades. Parce qu’en fait, étant donné que l’on a à faire à une maladie ayant un gros impact sur un plan vibratoire, et que chacun a un plan vibratoire différent, il faudrait que le médecin arrive à reconstituer le terrain vibratoire propre et particulier de la personne. C’est un peu comme s’il fallait refaire la trame de la cellule, jusque dans son aspect le plus primaire, le plus matériel, le plus solide.

Dans le cancer, l’alimentation a une très grande importance. Parce qu’il faut rééduquer, reconstruire les cellules qui sont à naître. En même temps que le traitement vise à détruire la mauvaise cellule, il faut que la nouvelle cellule n’ait pas le temps d’être contaminée, et qu’elle ait toutes les substances pour se constituer saine et qu’elle devienne un agent combattant du foyer existant.

C’est pour cela qu’en même temps que vous traitez le cancer, il faut absolument viser l’alimentation de la personne, donner des substances qui constituent la fibre même de la cellule, de manière que ce soit véritablement une cure.

En fait il faudrait utiliser le même genre de régime miracle, que ceux qui s’intéressent au rajeunissement. Car il s’agit justement de reconstruire la cellule jusque dans sa fibre.

C’est pour cela que dans certains cancers, il est bon de faire des greffes, parce qu’il s’agit de mettre en prédominance des cellules saines, qui transmettent leur ADN sain aux cellules qui sont à naître, ou aux cellules qui sont vivantes, tombées trop bas dans leur énergie. La cellule perd sa conscience, son auto-conscience, son autogestion, son autoguérison. C’est un peu comme si elle perdait son ADN, et qu’elle attrape celui qui est là, qui prolifère, et qui est le cancer.

Donc même pour ces cellules saines existantes, il est bon qu’elles côtoient d’autres cellules en pleine conscience de leur travail, car la cellule a une conscience. C’est cela qu’il faut essayer de développer dans l’esprit du malade. Sa cellule a une conscience autant que lui-même, et s’il participe à faire renaître la conscience dans ses cellules, il participe à redonner la vie à son corps.

Chaque fois qu’il y a perte de conscience, que ce soit par perte d’énergie, ou par un blocage que fait la personne, à cause d’une multitude de problèmes, la cellule perd la conscience, elle perd son code, et elle devient anarchique, comme un marginal. Dans la société, il y a de nombreuses personnes qui n’arrivent pas à trouver leur identité, leur place. Elles ne sont personne, et elles deviennent des anti-personnes, en devenant des marginales, et en faisant tout le contraire que l’édification d’elles-mêmes.

Si le cancer existe dans le corps, il existe aussi dans la société, car tout est miroir. On retrouve dans la société la même maladie que la personne expérimente dans sa propre chair. Car tout est reflet, car tout est un seul et même corps en fait.

Vous avez votre propre corps, votre pays, votre nation forme un corps, d’autres peuples, d’autres nations forment également leur corps. Regroupés, ces corps forment ce que l’on peut nommer l’humanité. Cette humanité sur un plan social aura les maladies que chaque personne déclare en elle-même, car tout est reflet, tout se répercute, car tout est correspondance.

Donc ce qu’il faut absolument, c’est, d’une certaine manière initier les malades à retrouver leur conscience. Généralement les cancéreux ont un problème vis-à-vis de leur propre image. C’est dans leur imago que cela ne va pas. Ils sont en conflit avec eux-mêmes, ou ils n’adhèrent pas à la société, à leur mariage, à leur profession. Ils sont en crise avec leurs traumatismes, avec leurs principes étroits pour certains.

Bien qu’ils n’aient pas de problème de personnalité, ils ont de graves problèmes d’étroitesse de jugement et d’esprit. Alors les cellules n’arrivent plus à fonctionner parce que l’homme, sclérose le mouvement de la santé du fait qu’il est emprisonné. Dès qu’il y a prison, dès qu’il y a arrêt, il y a la chute, et tous les cancers sont possibles.

Le cancer, que l’on peut nommer la maladie de la cité moderne, est étroitement lié au comportement psychologique et psychique de l’individu, lié au reflet que l’individu essaie de vivre et faire vivre chez les autres, ou un reflet que les autres lui envoient et qu’il n’accepte pas.

Souvent, les cancéreux ont de petites personnalités, pas forcément des introvertis, mais ils ont trop subi, trop pris, trop accepté sans vouloir accepter, alors ils s’enfoncent, et ils emmagasinent.

Les cancéreux de forte personnalité sont une grande exception, parce qu’il s’agit d’un tout autre type de dérangement. Cela veut dire, qu’à la base, il y a dans un organe une grande sclérose, soit venant d’une impuissance, par exemple sexuelle ou de tout autre chose. Les fortes personnalités ont plutôt des problèmes de maladie du type congestif. Tout ce qui est de la nature du feu justement. Alors que le cancer, la maladie cancer, est en rapport avec tout ce qui est eau chez le malade, dans le symbole au sens propre comme au sens figuré.


Chez une personne qu’est-ce que l’eau ?

Toutes les cellules baignent dans l’eau, premier rapport.

Ensuite, le mental, la psyché de l’homme est aussi symbolisée par l’eau.

Donc le cancer concerne et est concerné par tout ce qui est constitué par l’élément eau dans l’homme, aussi bien sur un plan psychologique que dans son corps. C’est pour cela qu’il s’attaque aux cellules, parce que les cellules baignent dans l’eau, et vivent essentiellement dans un milieu aquatique en fait.

Par contre, chez les gens à forte personnalité, c’est l’élément feu qui est concerné, parce que l’expression de la personnalité correspond au feu dans l’homme, c’est le verbe. C’est donc, religieusement ce que l’on appelle le Saint-Esprit, mais vibratoirement, c’est le feu.

Comme les éléments constituent l’âme, les quatre éléments que l’on trouve dans la nature constituent les aspects de l’âme, lorsque l’âme est insuffisante à l’endroit d’un élément, il y a déclenchement d’une maladie, d’un problème, ou d’une carence, dans l’élément physique.

Donc par correspondance physique, cela va être toutes les maladies qui s’appuient sur le feu, sur un désordre de l’élément feu, toutes les maladies pulmonaires, cardiaques, tout ce qui est congestif.

Et on pourrait aller ainsi, par correspondance, de l’âme au physique. Selon l’élément qui concerne l’âme, le même élément sera concerné dans le physique, et c’est pour cela que l’on peut dire, que vous développez dans le physique, la maladie de votre âme, ou plutôt le désordre qui vit dans l’âme.

Quelque part la maladie est toujours un état qui signifie une réalité vibratoire, un manque d’initiation, et en même temps cela met le doigt sur l’élément où la personne doit travailler, aussi bien pour avoir l’initiation, que pour se libérer de la maladie.

On peut y remarquer aussi l’influence karmique, les maladies karmiques, mais qui ne sont pas, en fait, la raison de la plupart des maladies. Rendre quelqu’un malade, pour des raisons karmiques n’est pas véritablement valable, il vaut mieux mettre la personne dans l’épreuve, que dans la maladie. Mais dans la mesure où il y a eu sclérose, par entêtement, par incompréhension au cours de plusieurs réincarnations, à un moment donné cela devient un fait karmique et la maladie de ce qui ne devait être qu’une épreuve, mais qui n’a pas été comprise et assimilée.

C’est toujours un désordre de la psyché, de la psychologie, un désordre de l’état des chakras, désordre vibratoire, un entêtement à ne pas aller de l’avant, à ne pas comprendre, à se scléroser, à entretenir le même problème de réincarnation en réincarnation, à être sourd en quelque sorte. Alors cela projette l’homme dans la maladie.

Il ne faut pas croire que se termine là le chapitre sur les causes de la maladie, car il y a aussi le terrain familial, le terrain génétique, qui ne crée pas forcément la maladie, mais qui selon l’état psychique de la personne va pouvoir déclencher plus facilement, et plus typiquement la maladie.

Il y a le terrain astrologique, car chaque homme naît avec une disposition d’étoiles spécifique, et chaque étoile, selon sa figure, apporte force ou faiblesse à un certain endroit.

Comme les éléments constituent l’âme, les quatre éléments que l’on trouve dans la nature constituent les aspects de l’âme, lorsque l’âme est insuffisante à l’endroit d’un élément, il y a déclenchement d’une maladie, d’un problème, ou d’une carence, dans l’élément physique.

Ce qui fait qu’un homme développe très souvent la maladie de son ciel. Cela ne veut pas dire à ce moment-là, que le ciel est sur lui comme l’épée de Damoclès, et qu’immanquablement il aura la maladie de son ciel. Mais selon son taux d’erreur, son taux de sclérose, son taux de paresse, son taux de surdité, selon qu’il ne voudra pas accepter l’épreuve et la vaincre, à ce moment-là, il y a mise en résonance entre son âme et son taux vibratoire et cela va correspondre dans le physique.

Tout est correspondance. Dès que l’on commence à soulever un bout du voile, on s’aperçoit que l’on ne contemple qu’un orteil, et qu’en fait, tout le reste de son corps est à dévoiler.

Lorsque l’on veut s’intéresser au pourquoi, ne serait-ce que de la plus petite des maladies, on tombe immédiatement dans un relais de correspondance gigantesque.

Ce qui ne veut pas dire que vous devez absolument apprendre tous ces relais de correspondance, car en fait, si vous en connaissez un minimum et que vous êtes avant tout plein de sagesse, de bonne volonté, que vous développez en vous ce taux vibratoire de disciples et que l’énergie universelle peut passer, alors peu importe toutes ces conditions, l’énergie universelle ne fait qu’une bouchée de tous les symptômes.


Je vous salue